ou trois tomes au lieu d’un (XLI, 3. № 4284).
306
Ср. письма к разным лицам от 8, 10, 23 октября 1760 г. (XLI, 13, 15, 25, 27. № 4290, 4291, 4293, 4300, 4302).
307
Je pris la liberté de lui (графу Головкину) adresser pour vous un petit ballot, contenant quelques exemplaires du premier volume de l’Hisroire de Pierre le Grand. Votre Excellence en présentera un à Sa Majesté impériale, si elle le juge à propos (XL, 544. № 4264, 21 сентября 1760 г., Ив. Ив. Шувалову).
308
On est content du premier volume; le libraire en a déjà débité cinq mille exemplaires; Pierre le Grand et vous, vous faites sa fortune (XLI, 31, 32. № 4307, 25 октября 1760 г., Ив. Ив. Шувалову). Две недели спустя, 7 ноября, тому же Шувалову Вольтер говорит о трех изданиях, проданных в течение двух месяцев: On a fait, en deux mois, trois éditions du premier volume de l’Histoire de Russie (XLI, 55. № 4325).
309
Je leur (братьям Крамерам) recommenderai de prendre, pour la traduction, les arrangements que vous ou vos amis vous voudrez bien prescrire (XLI, 428. № 4159, 20 июня 1760 г., барону де Монтон).
310
L’impératrice de Russie m’avait envoyé son portrait avec de gros diamants; le paquet a été volé sur la route (XLI, 253. № 4507, конец марта 1761 г., г-же де Фонтень).
311
Ne croyez pas que l’Histoire de Pierre le Grand puisse vous amuser autant que celle des Stuarts; on ne peut guère lire Pierre qu’une carte géographique à la main; on se trouve d’ailleurs dans un monde inconnu. Une Parisenne ne peut s’intéresser à des combats sur les Palus-Méotides, et se soucie fort peu de savoir des nouvelles de la grande Permie et des Samoyèdes. Ce livre n’est point un amusement, c’est une étude (XII, 16. № 4293, 10 октября 1760 г., маркизе дю Деффан).
312
Je vous avertis que la Préface vous fera pouffer de rire, et vous serez tout étonnée de voir que la plaisanterie n’est point déplacée (Там же. С. 15). Cela n’est pas si amusant qu’une tragédie. Que ferez-vous de la grande Permie et des Samoyèdes? Il y a pourtant une Préface à faire rire, et j’ose vous répondre qu’elle vous divertira (XLI, 18, № 4295, 13 октября 1760 г., маркизе д’Аржанталь).
313
Письмо Лакомбу 9 мая 1760 г. См. выше, примеч. 32 и 45. И еще: Ajoutez à ce malheur celui des noms barbares inconnus à Versailles et à Paris, et vous m’avouerez que je cours grand risque de n’être point lu de tout ce que vous avez de plus aimable (XL, 382).
314
J'ai fait réponse que je ne pouvais m’empêcher, en conscience, de préferer celui qui bâtit des villes à celui qui les détruit; et que ce n’est ma faute si Sa Majesté polonaise elle-même a fait plus de bien à la Lorraine par sa bienfaisance que Charles n’a fait de mal à la Suède par son opiniâtreté (XLI, 61. № 4331, 12 ноября 1760 г., графу де Трессан).
315
Je trouve que c’était une horrible imprudence d’attaquer cinquante ou soixante mille hommes, dans un camp retranché à Narva, avec huit mille cinq cents hommes harassés, et dix pièces de canon. Le succès ne justifie point, à mes yeux, cette témérité. Si les Russes ne s’étaient pas soulevés contre le duc de Croï, Charles était perdu sans ressource. Il fallait un assemblage de circonstances imprévues, et un aveuglement inouï, pour que les Russes per-dissent cette bataille… Le siège de Pultava, dans l’hiver, pendant que le czar marchait à lui, me paraît, comme au comte Piper, l’entreprise d’un désespéré qui ne raisonnait point. Le reste de sa conduite, pendant neuf ans, est de don Quichotte (XLI, 56, 57. № 4326, 1760 г., де Сен-Ламберту).
316
Dites-moi, je vous prie, de quoi vous avisez-vous d’écrire l’histoire des loups et des ours de la Sibérie? et que pourrez-vous rapporter du czar, qui ne se trouve dans la Vie de Charles XII? Je ne lirai point l’histoire de ces barbares; je voudrais même pouvoir ignorer qu’ils habitent notre hémisphère (XLI, 43, № 4317, 31 октября 1760 г., Фридрих Вольтеру).
317
Luc (Фридрих II) me mande qu’il est un peu scandalisé que j’aie fait, dit-il, l’histoire des loups et des ours; cependant ils ont été à Berlin des ours très-bien élevés (XLI, 65. № 4337, 17 ноября 1760 г., Даламберу). Je me souviens d’avoir entendu dire à vos ministres que le czar n’était qu’un extravagant, né pour être contremaître d’un navire hollandais; que Pétersbourg ne pourrait subsister; qu’il était impossible qu’il gardât la Livonie, etc; et voilà aujourd’hui les Russes dans Berlin, et un Tottleben donnant ses ordres datés de Sans-Souci! (XLI, 3. № 4284, 3 октября 1760 г., маркизу де Шовлэн).
318
Je dois confier à votre prudence et à votre bonté pour moi que le roi de Prusse m’a su très-mauvais gré d’avoir travaillé à l’Histoire de Pierre le Grand et à la gloire de votre empire. Il m’en écrit dans les termes les plus durs, et sa lettre ménage aussi peu votre nation que l’histoiren (XLI, 83. № 4356, 2 декабря 1760 г., Ив. Ив. Шувалову).
319
Письма к Шувалову, 11 июня и 25 сентября 1761 г.
320
См. ниже, главу IV. Je dépêche à M. le comte de Kaunitz un gros paquet à votre adresse. Il contient un volume de l’Histoire de Pierre le Grand, imprimé avec les corrections au bas des pages, et les réponses à des critiques. J’ai réformé, avec la plus scrupuleuse exactitude, les nouveaux chapitres qui doivent entrer dans le second volume… Je suis persuadé que vous ne voulez pas que j’entre dans les petits détails